Train SNCF Angers - Versailles

Combien coûte un billet de train Angers – Versailles ?   

Bonne nouvelle, le billet de train Angers – Versailles est à partir de 10€ pour les adultes, et 5€ pour les enfants. Une vraie affaire ! Et si je crains de ne pas avoir assez de place pour rapporter un tas de souvenirs, pas de souci, l’option bagage supplémentaire est là pour ça. Merci OUIGO ! 

Y a-t-il des trains directs pour Versailles au départ d’Angers ? 

Évidemment, c’est direct ! Je monte en gare d’Angers, je m’installe confortablement, et zou : direction Versailles Chantiers , sans correspondance ni détour. L’idéal pour éviter le stress et garder toute mon énergie pour admirer les dorures du château. 

Quelle est la durée d’un trajet Angers - Versailles ?  

En 2h26 chrono, je passe d’Angers à Versailles. Juste le temps de bouquiner un peu, de grignoter une petite douceur et de me demander dans quelle galerie je prendrai ma plus belle photo une fois arrivé. Rapide, et surtout très efficace ! 

À quelle heure partent le premier et le dernier train ?  

Selon les jours, des trains partent à 8h26, 13h34 ou 19h29 de la gare d’Angers Saint-Laud. Pour ne pas me tromper, je vérifie les horaires de mon train sur le site de OUIGO. 

Que faire si je souhaite modifier mon billet Angers – Versailles ?  

Un imprévu ? Une envie soudaine de prolonger ma visite ? Aucun souci ! Grâce à OUIGOSWAP, je peux remettre mon billet en vente et tenter de trouver un nouveau preneur. Pratique, simple, et surtout sans tracas ! 

Que faire, voir et manger à Versailles ?  

Versailles, ce n’est pas juste une destination proche de Paris avec un château emblématique entouré de jardins tirés au cordeau, c’est aussi une ville vivante où l’élégance se retrouve à chaque coin de rue. Je commence ma visite par une plongée royale dans les allées du domaine, entre fontaines, bosquets secrets et vues dignes d’un décor de film. Ensuite, cap sur la galerie des Glaces : 357 miroirs pour vérifier si mes cheveux tiennent le choc de l’émotion. 

Mais Versailles se savoure aussi… littéralement. Après avoir bien marché, je file me réchauffer dans un salon de thé du centre-ville avec un véritable chocolat chaud, dense, onctueux et surtout réconfortant. Hérité des habitudes royales, il a ce petit goût de privilège… sans avoir besoin d’être dauphin pour y goûter. Et puis il y a les macarons de Versailles, bien différents de leurs cousins parisiens. Ici, ils sont croquants à l’extérieur, tendres à l’intérieur, et confectionnés selon une recette transmise depuis le XVIIIe siècle. Un petit plaisir raffiné à glisser dans mon sac… ou à engloutir avant même d’avoir quitté la pâtisserie. Clairement, entre histoire et gourmandise, Versailles ne me laisse pas sur ma faim !