À Marseille pendant les vacances de Noël ? Santons… et tradition gourmande ! !

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Marseille de Noël

Depuis plus de 10 ans, OUIGO vous emmène partout en France pour les plus beaux marchés de Noël, la fête des lumières, ou simplement des moments en famille... Cette année, un focus sur Noël à Marseille, ses desserts pleins de douceur, et la tradition des santons ! Vous passez les vacances de Noël à Marseille ? Vacances en famille ou entre amis, suivez le guide, c’est parti !

 

La foire aux Santons de Marseille : étape incontournable de vacances de Noël

Cette tradition provençale du santon de Marseille vous est peut-être familière… ou peut-être pas. Pour les retardataires, voici une petite mise à jour expresse sur la tradition santonnière. Le santon trouverait son origine à Marseille vers le 12ème siècle. Il s’agit de petites statuettes sculptées, qui représentent la nativité, et sont installée dans les églises. Le mot « santon » vient de l’italien « santibelli » (une figurine en argile).

La mode des crèches vivantes (dans lesquelles tous les personnages traditionnels de la nativité apparaissent et sont jouées par de vraies personnes) commence en Italie vers 1225 : c’est une tradition qui viendrait de Saint François d’Assise. Rapidement importée jusqu’en Provence par les moins franciscains, la crèche vivante prend tout son essor.

Au moment de la révolution Française, les crèches vivantes dans les églises sont interdites. Alors, pour prendre le relais, les marseillais vont commencer à reproduire des crèches, mais chez eux ! Le santon va naître, et rapidement se populariser : dès 1798, on peut acheter des moules à santon, et fabriquer sa propre crèche. Il y a même des maîtres santonniers, experts dans la fabrication de ces moules à argile ! Et c’est de cette manière que Marseille est devenue la capitale du Santon. En 1803, Marseille va accueillir sa toute première foire aux Santon. Et depuis, la tradition perdure !

 

L'événement aujourd’hui

Aujourd’hui, la foire aux Santons de Marseille réunit 24 stands de santonniers, qui fabriquent des santons dans la plus pure tradition santonnière (en argile, et en Provence !). Cette foire commence en Novembre, et se poursuit chaque année jusqu’à début janvier. Un bon moment, pour ceux et elles qui s’y prennent au dernier moment, de trouver quand même des santons sur le marché… et pour les touristes, de profiter du Marché aux Santons de Marseille durant toutes les vacances de Noël !

Santons Marseille

Noël à Marseille : les santons, mais pas que ! Bienvenue au Marché de Noël

Si vous passez les vacances de Noël à Marseille et que vous cherchez quoi faire, quoi visiter, ne vous arrêtez pas aux santons ! La ville accueille aussi un marché de Noël. Une excellente occasion de goûter les spécialités culinaires de Marseille, d’acheter quelques petits cadeaux de dernière minute, ou de faire le plein de sauce tomate parfumée ou d’huile d’olive ensoleillée à rapporter chez vous pour affronter l’hiver !

Au moment de Noël, Marseille aménage également une pantoire, des manières… et même… une Grande roue !

 

À Marseille, pour Noël : la gourmandise avant tout ! Avec les 13 desserts…

Un dessert, c’est toujours appréciable… mais TREIZE desserts ?! C’est formidable. Et si vous passez à Marseille au moment des fêtes, ce serait vraiment dommage de passer à côté de cette grande tradition gourmande de la Provence.

Les treize Desserts s’appellent aussi « calenos ». Traditionnellement, on les sert à la fin du repas, la veille de Noël. L’idée principale ? De l’abondance, et beaucoup de douceur… Il existe des traces anciennes de cette idée de servir plusieurs desserts à la fin du repas de Noël, mais le nombre de 13 est plus récent. Il représenterait le Christ et ses douze apôtres. Enfin, pas besoin d’être croyant pour être gourmand !

Que dit la tradition, exactement, sur la nature de ces treize desserts ? Il y aurait tout d’abord les « quatre mendiants » : figues, amandes, noix et raisins secs, qui servent à élaborer le « nougat du pauvre » ou « nougat du capucin ». Ensuite, les noisettes, les pistaches et le raisin muscat. Puis, les « sorbes » : dattes, poires, pommes, oranges, et même un melon que l’on a gardé de l’été… on y rajoute des pots de confitures, des châtaignes cuites au vin, des desserts traditionnels, et puis de la fougasse, et même : du fromage ! Bien sûr, sentez-vous libre de modifier cette liste ! Parce qu’il existe, finalement, autant de « 13 Desserts » différents que de cantons, ou de familles… En s’approchant de Nice, par exemple, on va voir figurer sur la liste, des calissons en pâte d’amandes.

L’idée est tout d’abord de profiter d’un moment d’opulence, en accumulant les douceurs : une tradition que l’on retrouve aussi chez les grecs, les juifs sépharades… parce que, s’il y a bien quelque chose qui met tout le monde d’accord, c’est la gourmandise !

 

Jusqu’à Marseille en OUIGO ? J’y GO !

OUIGO vous emmène en TGV jusqu’à Marseille ! Désormais, OUIGO pousse ses TGV jusqu’à la gare TGV SNCF de Marseille-Saint-Charles. Très bien desservie, et ouvrant toute la Provence avec les correspondances, de Paris gare de Lyon, Roissy ou Tourcoing, sautez dans un train pour Marseille ! En profitant de petits prix (19€ pour une arrivée en gare de Marseille Saint-Charles)… youpi !

 

OUIGO dit OUI à la magie de Noël !

Chez OUIGO, on dit OUI à Noël, OUI à la magie, OUI à la générosité. Toute l’année, OUIGO se mobilise pour vous proposer de petits prix, et les fêtes de fin d’année ne font pas exception – avec les réservations et les opérations spéciales, OUIGO, c’est la bonne solution pour aller rendre visite à la famille, aux amis, et passer de bons moments tous et toutes ensembles.

OUIGO va même plus loin, en vous donnant des conseils pour bien faire votre valise, ou en vous suggérant des petits cadeaux écolos et pas encombrants… et bien sûr, en proposant OUIGO + : une option pleine d’options pour pouvoir partir en vacances à Noël avec des grosses valises, s’asseoir en duo ou en famille dans le train, ne pas attendre avant de monter dans le TGV, quand vous rentrerez chargé(e)s…

 

 

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