Les spécialités culinaires à découvrir en Mayenne
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Angers et le Val de Loire sont accessibles facilement en train OUIGO : OUIGO Grande Vitesse et OUIGO Train Classique – et les délicieuses spécialités culinaires d’Angers aussi ! Si vous avez envie de découvrir la région angevine et de vous régaler, il n’y a plus qu’à
Vous allez voir, les spécialités culinaires d’Angers, c’est un poème. On vous donnait déjà de bonnes adresses où manger à Angers, ici. Pour les spécialités du coin, à goûter ou à rapporter, on commence avec la gouline angevine – vous avez vu, ça rime. C’est l’une des spécialités gourmandes d'Angers et de l'Anjou. C’est un plat salé : une tourte réalisée avec une pâte brisée, que l’on garnit avec un mélange de rillauds d'Anjou, d'échalotes, de champignons de Saumur, de tomme d'Anjou IGP, et qu’on parfume au chenin doux. Vous la trouverez facilement à la carte des restaurants lors de votre séjour à Angers : si vous mangez de la viande, c’est à goûter absolument !
Rien à voir avec la gymnastique : la galipette est le nom d'une variété de champignons, qui est typique de la région d’Angers. Le plus souvent, on sert ces champignons farcis : on retourne les chapeaux et on les fourre avec plein d’ingrédients délicieux – les recettes sont multiples. Si vous voyez « galipettes farcies » à la carte d’un restaurant, vous aurez le plaisir de les goûter, en plat ou en entrée.
Et si vous vous demandez d’où vient ce nom inattendu, sachez que c’est lié à la croissance des champignons. Dans les champignonnières, si les champignons deviennent trop gros, le chapeau finit par se détacher et par tomber en faisant une galipette. Et voilà.
Si vous appréciez la volaille, ne partez pas d’Angers sans goûter l’oie d’Anjou. La région est riche en élevages de volaille, avec un savoir-faire qui a valu à l’oie angevine de bénéficier d’une appellation IGP (Indication Géographique Protégée) depuis 2011. On mange de l’oie d’Anjou toute l’année, mais plus particulièrement à Noël, où on la sert avec des marrons et des pommes de terre.
Les rillauds d'Anjou font partie des charcuteries locales incontournables. Il s’agit de morceaux de poitrine de porc, aromatisée et conservée dans la saumure. Une fois qu’on a laissé reposer les morceaux, on les cuit dans leur propre graisse pour obtenir une viande très goûtue et qui fond dans la bouche. Comme dans plusieurs autres régions de France, la charcuterie de cochon fait partie de la tradition car on ne disposait pas de beaucoup d’options pour manger de la viande – on élevait et tuait le cochon, et on s’assurait alors qu’on utilisait chaque partie de l’animal. C’est pour cela qu’on transformait la graisse en saindoux, ou qu’on mangeait les pieds…
Dans les environs d’Angers, il y a même certaines villes et certains villages où on organisait des « rillaudées » : on buvait du vin d’Anjou et on dégustait les rillauds. Et certaines associations la font perdurer ! Si cela vous intéresse, il y a encore une rillaudée organisée chaque année, le premier dimanche de juillet, à Brissac.
C’est le nom, on n’y peut rien ! Le cul de veau est en fait la pièce de veau que l’on appelle le « quasi » : une pièce assez conséquente, qui peut nourrir toute une famille. On la prépare avec du vin blanc sec et de la crème fraîche, et bien sûr des légumes et des aromates. Le cul de veau à l’angevine est un plat nourrissant, que l’on déguste surtout à l’automne et en hiver.
Vous préférez le poisson ? Le val de Loire est une région où on aime manger du poisson de rivière, avec une sauce au beurre blanc. La sauce au beurre blanc traditionnelle contient du beurre, de l’échalote, du vin blanc sec et du citron – et du beurre, bien sûr. Le résultat ? Le poisson de rivière est sublimé par cette sauce à la fois riche et acidulée. Dans la région d’Angers, on savoure aussi le sandre, l’anguille ou le brochet avec de l’oseille – une plante au goût très « vert », qui ressemble un peu à l’épinard. Tout aussi délicieux ! Et en été, on part vers les guinguettes pour manger le poisson en friture.
En attendant, si on passait au fromage ?
Bien sûr, il y a des fromages typiques dans la région d’Angers. C’est la magie de ce pays : il y a toujours un fromage du coin ! (Attention : on ne s’en plaint pas, au contraire.) Si vous venez passer un séjour gourmand à Angers ou dans ses environs, vous pourrez goûter la bûche fermière (un fromage au lait de chèvre à pâte molle), ou la Grise d'Anjou, au lait de vache : une tomme à pâte très souple.
Allez, c’est l’heure du dessert !
Contrairement à ce que vous pourriez croire, le pâté aux prunes est un dessert ! Il fait partie des spécialités culinaires d’Angers les plus populaires. Dans le cas de ce dessert, « pâté » signifié « dans une pâte » : il s’agit d’une tourte sucrée, fourrée aux prunes. La recette authentique implique de laisser les noyaux des prunes, mais vous pourrez bien sûr trouver du pâté aux prunes d’Angers fourré aux prunes sans noyaux.
Un autre dessert typique d’Angers : la pomme tapée. Mais qu’est-ce que c’est que ce nom étrange ?
La pomme tapée d'Anjou est une spécialité culinaire sucrée, qui s’est développée durant les VIIe et XIXe siècles dans la vallée de la Loire. Il y avait de très nombreux vergers entre Chinon et Saumur, mais surtout, il y avait un grand besoin pour la marine marchande de trouver un moyen d’emporter des fruits à bord des navires. Car sans fruits ni produits frais pour des périodes prolongées, les marins risquaient des carences en vitamine C. Et la pomme tapée, riche en vitamine C justement, se conserve 10 ans ! On a commencé à la produire de manière soutenue après une épidémie qui a dévasté les vignobles de la région et elle est devenue une des premières productions de la région. Quand la vigne a de nouveau été en pleine santé, la production de vin a repris du poil de la bête et la pomme tapée a perdu de son intérêt. Mais elle est restée parmi les traditions du coin, et à Angers vous pouvez encore trouver des boutiques qui en vendent.
Vous pouvez en acheter pour en rapporter chez vous : c’est un produit facile à transporter, qui se conserve extrêmement longtemps, et qui s’utilise de mille et une manières en cuisine.
Ces petits beignets sucrés, que l’on prépare traditionnellement au moment de Mardi Gras, se trouvent toute l’année dans les boulangeries d’Angers. Il s’agit de petits beignets aérés, saupoudrés de sucre – vous en avez forcément déjà goûté, il y en a partout en France, sous des noms différents : merveilles, roussettes, bugnes... Et quel que soit leur nom, ils sont délicieux !
Encore envie d’une petite douceur ? Alors il faut absolument goûter le Crêmet d'Anjou® : une forme de cœur, une texture mousseuse de crème – avec un léger goût de vanille… Le Crêmet existe depuis les années 1890, et on le déguste nature, ou bien avec du miel, du coulis de fruits, ou parfois du chocolat. À vous de trouver votre formule préférée !
Un petit chocolat à grignoter avec le café, à la fin du repas ? Les Quernons d'ardoises seront parfaits. Il s’agit de petits morceaux de nougatine caramélisée, avec des amandes, qui sont ensuite nappés de chocolat. Et ils sont bleus ! Impossible de les confondre avec une autre spécialité culinaire. Vous pouvez en rapporter à vos ami(e)s : la couleur surprend mais le goût ne laisse personne indifférent.
Et enfin, pour le thé ou le goûter, il y a les Caramandes d’Angers : de fins triangles d’amandes effilées et caramélisées, recouverts d’un délicieux chocolat noir. Ça croustille, ça fond dans la bouche… miam ! Oui, vous pouvez essayer d’en rapporter à la fin du week-end. Mais pas sûr qu’ils arrivent jusqu’à la maison : c’est tellement bon…
Vous avez tout goûté ? Si vous avez envie de poursuivre vos explorations gourmandes, excellente nouvelle : OUIGO vous emmène partout en France, tester les spécialités culinaires locales !
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De passage à Toulon ? Ça tombe bien : OUIGO adore Toulon… et tous ses mets typiques et délicieux !
En route pour le Poitou !